FAQ

Même si chacun vient avec des problèmes très différents, les premiers effets d’une séance sont bien souvent un plus grand calme, plus d’énergie et un meilleur sommeil…quelque chose de naturel et d’évident qui s’impose, sans effort.

La diversité des changements est très grande et cela se comprend tout à fait. Car c’est notre cerveau qui contrôle, de près ou de loin, tous les systèmes de notre corps.

Le point d’entrée de notre méthode se situe à un niveau très basique du corps, l’activité électrique du cerveau. C’est elle qui est mesurée et qui permet de donner une information au cerveau sur son propre fonctionnement. A partir du moment où l’activité électrique du cerveau se régule, son activité chimique se régule en même temps. Le système nerveux communiquant avec les autres systèmes du corps, c’est bien tout notre être qui se régule et fonctionne mieux, selon les possibilités de réparation de chacun.

Il y a quelques dizaines d’année encore, la vision du cerveau qui prédominait était celle d’un système se développant pendant les premières années de la vie pour ensuite décliner inéluctablement. Nous savons à présent que notre cerveau est plastique, c’est à dire qu’il a la capacité de se modifier, de s’adapter. Même un cerveau âgé, même un cerveau lésé dès la naissance, ou plus tard suite à un AVC, peut apprendre. Cette capacité fonctionne toute notre vie.

 

Des études ont montré qu’un enfant a un cerveau plus plastique qu’une personne âgée. Plus le cerveau est jeune, plus il est à même de changer. Cela est vrai dans un certaine mesure. Car notre cerveau reste capable de changer et d’apprendre tant que nous sommes en vie. Des personnes de plus de 70 ans peuvent aussi constater des changements importants pour elles.

Tout cerveau peut apprendre et changer, même un cerveau lésé, cela bien sûr dans les limites des capacités liées à l’étendue des lésions. Les praticiens font de nombreuses séances avec des enfants aux lésions cérébrales touchant parfois des zones du cerveau importantes et des changements ont eu lieu, qui laissent à penser que non seulement les connexions existantes se sont mieux régulées, mais que de nouvelles connexions se sont probablement créées, apportant des possibilités qui n’existaient pas auparavant.

 

Vous venez tel que vous êtes, avec les problèmes et les souffrances que vous souhaitez voir diminuer ou disparaître. Cette méthode ne dit pas à votre cerveau ce qu’il doit corriger, elle ne dit pas de combien il s’éloigne de la norme, elle ne lui impose pas une certaine trajectoire pour s’en rapprocher. Elle laisse le cerveau modifier ce qui est important pour lui à ce moment-là.

Comment cela est-il possible? Une interruption vient d’avoir lieu. Votre cerveau, qui attendait une suite continue des sons, est surpris par cet événement qu’il n’avait pas anticipé.

Le feedback qu’est l’interruption de la musique active ainsi les mécanismes de plasticité. Cette interruption a pour le cerveau une signification, car elle survient à un moment bien particulier de son fonctionnement. La coïncidence temporelle entre ces deux événements, turbulence et interruption, fait que cette dernière est pertinente pour le cerveau.

On laisse le cerveau corriger ce qu’il doit corriger, au moment où il le fait. On ne lui prescrit rien de particulier, quels que soient les dysfonctionnements.

De nombreuses personnes ont certaines idées à propos des interruptions de la musique. Il est intéressant d’expliquer que l’on peut entendre quelques interruptions, mais que la plupart ne sont pas audibles au niveau conscient; en revanche, celles-ci sont perçues par le cerveau non conscient. Malgré cela, il est fréquent que les personnes soient rassurées par le fait d’entendre les interruptions.

Cette réaction est peut-être liée au fait que l’on a tendance à ne croire que ce que l’on perçoit (par la vue, l’audition). Pour certains, il faut que l’interruption soit audible pour être considérée comme réelle et donc efficace. Or, ce n’est pas le cas.

 

Vous n’avez pas d’obligation à « écouter » la musique ou à « regarder » le film. C’est comme bon vous semble. Vous n’avez pas à vous concentrer, à vous forcer à entendre ou voir. Vous pouvez fermer les yeux et dormir. Pendant ce temps, votre cerveau perçoit les interruptions qui l’incitent à se réorganiser.

 

L’inconscient (dont une des fonctions consiste à veiller à la stabilité de notre environnement), va immédiatement identifier une modification de l’environnement sonore. En effet, il y avait de la musique et à présent, il n’y en a plus.
En un mot, l’inconscient se dit « Tiens, que se passe-t-il ? ».
Quand la musique s’interrompt, l’inconscient cesse de pratiquer ce qu’il faisait, pour se focaliser sur ce nouveau sujet (l’interruption musicale) et identifier ce qui se passe.
Ainsi l’esprit, continue donc normalement son évolution. Il gomme donc peu à peu cet excès de son comportement, et évacue simultanément le dérèglement qui en découlait (c’est-à-dire par exemple l’angoisse qui y était liée, ou la nervosité, la difficulté de concentration, ou quoi que ce soit qui était relié à cette mémoire traumatique, tout ce qui pouvait altérer à sa fluidité).

Avec NeurOptimal™, on ne fait qu’informer le cerveau sur sa propre activité et il poursuit de lui-même, quel que soit son âge et son histoire, son apprentissage et sa réorganisation (résilience).

Par expérience, les praticiens ont constaté que bien souvent le rythme de deux séances par semaine permettait de ressentir un mieux-être assez vite. Cela reste un idéal. Mais d’autres rythmes sont tout à fait possibles. On peut ne faire qu’une séance par semaine. Les changements peuvent être plus lents mais cela peut aussi aider à accepter l’idée que le processus de changement peut prendre du temps. On se met moins la pression, on se donne plus de temps pour découvrir les différences d’une semaine à l’autre.

Fixer un nombre de séance n’est pas possible.. La personne peut se sentir mieux très vite: des changements peuvent avoir lieu très vite et ces changements en entraîneront d’autres. Pour d’autres cela peut prendre plus de temps, il n’y pas de règles.

A savoir, qu’à tout moment, vous pouvez faire des pauses si vous en avez envie et reprendre des séances quand vous voulez. Vous pouvez décider d’arrêter et reprendre quelques temps plus tard parce que vous en ressentez le besoin. Ou simplement une séance est un moment agréable que vous souhaitez vous octroyer.

Le praticien n’a aucun moyen de dire à la personne à quel moment arrêter. C’est la personne qui peut décider à tout moment d’arrêter quand elle est satisfaite des changements

Il faut compter environ une heure. Cela comprend une discussion sur les changements constatés, la pose des électrodes, la séance proprement dite qui dure 35 minutes, et la fin de la séance. La première séance est plus longue car on prend le temps de discuter et d’exposer les principes de la méthode.

De la même manière que chacun d’entre nous. Après l’avoir confortablement installé allongé sur vous, dans vos bras, ou encore dans son cosy/sa nacelle, je lui installe simplement les capteurs avant de démarrer la séance sur un fond sonore de musique douce ou bien un dessin animé.

Les locaux ont été pensés et réalisés en fonction des normes d’accès handicapé afin d’assurer l’accès à tous.

Il faut compter environ 45 minutes. Cela comprend une discussion sur les changements constatés, la pose des électrodes, la séance d’entrainement qui dure 33 minutes et la fin de la séance. La première séance est plus longue car on prend le temps de discuter et d’exposer les principes de la méthode.

L’essentiel est de passer un bon moment. Vous pouvez donc choisir votre musique ou votre film, et changer si vous le souhaitez à chaque séance. Plus le cerveau est au repos, mieux c’est.

On peut faire des séances à tout âge, il n’y a aucune restriction. Depuis la naissance jusqu’à la mort, notre cerveau est actif et plastique, et peut apprendre à mieux se réguler grâce aux séances.

Il n’y aucune restriction ou contre-indication. La méthode NeurOptimal est une méthode générique, qui informe le cerveau sur sa propre dynamique et lui permet de mieux se réguler là où c’est nécessaire. La réorganisation des connexions entre neurones ira toujours dans le sens d’une meilleure régulation, quel que soit le trouble.

Avec la méthode NeurOptimal il n’est pas nécessaire de faire un diagnostic, un bilan, ou un EEG préalable, car la méthode n’est pas médicale et ne soigne pas de façon spécifique. C’est une méthode générique et le praticien de NeurOptimal utilise le même protocole pour tout le monde.
 
 

Vous devez continuer à prendre ces médicaments et ne rien modifier par vous-mêmes. Voyez avec le médecin qui vous prescrit ces médicaments comment éventuellement en diminuer la posologie.

Les séances de Neurofeedback Dynamique ne se substituent pas au traitement médical mais ont pour objectif d’accompagner vers plus de confort.

Les séances de Neurofeedback Dynamique peuvent être un excellent complément au suivi médical et psychothérapeutique.

Il n’y aucune restriction ou contre-indication. La méthode NeurOptimal est une méthode générique, qui informe le cerveau sur sa propre dynamique et lui permet de mieux se réguler là où c’est nécessaire. La réorganisation des connexions entre neurones ira toujours dans le sens d’une meilleure régulation, quel que soit le trouble.

Avec la méthode NeurOptimal il n’est pas nécessaire de faire un diagnostic, un bilan, ou un EEG préalable, car la méthode n’est pas médicale et ne soigne pas de façon spécifique. C’est une méthode générique et le praticien de NeurOptimal utilise le même protocole pour tout le monde.

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